La Sécurité sociale est présente dans la vie quotidienne de toutes les familles, de la naissance à la mort. Elle verse des prestations maladie, retraites, autonomie, famille, accidents du travail / maladies professionnelles. Elle réduit fortement les inégalités.
Macron a imposé sa réforme des retraites – sans vote – pour faire des économies. Sachant que beaucoup d’assurés seront chômeurs avant 64 ans, il a réduit les prestations chômage. Ça ne lui suffit toujours pas : la Sécurité sociale es t la variable d’ajustement budgétaire pour revenir sous 3 % de déficit en 2027.
Les fermetures de lits continuent, les déserts médicaux s’étendent, l’accès aux urgences, aux soins est de plus en plus difficile, le manque de personnel est dramatique, et pourtant des suppressions d’emplois se poursuivent !
Avec les augmentations des franchises, les réductions des indemnités journalières, on ose nous parler de « responsabilisation », d’un « signal prix », alors que l’on sait que ce seront ceux qui ont de faibles moyens qui renonceront à des soins. La « responsabilité » ce serait de s’en prendre aux spéculateurs, aux Big Pharma.
Après le scandale Orpéa, la réponse du gouvernement c’est de supprimer la loi Grand âge qu’il avait promise :
Le budget est consacré au remboursement de la dette de la France. Toutes les « pistes » évoquées consistent à faire payer la population, par une nouvelle assurance obligatoire ou par de nouveaux prélèvements (une 2ème CRDS – Contribution au remboursement de la dette sociale)
Les pensions de retraite devraient être en baisse par rapport au PIB pour des décennies,…
E Macron fait des coupe dans toutes les dépenses solidaires de protection sociale. Le « modèle » qu’il est en train de mettre en place c’ est celui des États Unis.
Macron a imposé sa réforme des retraites – sans vote – pour faire des économies. Sachant que beaucoup d’assurés seront chômeurs avant 64 ans, il a réduit les prestations chômage. Ça ne lui suffit toujours pas : la Sécurité sociale es t la variable d’ajustement budgétaire pour revenir sous 3 % de déficit en 2027.
Les fermetures de lits continuent, les déserts médicaux s’étendent, l’accès aux urgences, aux soins est de plus en plus difficile, le manque de personnel est dramatique, et pourtant des suppressions d’emplois se poursuivent !
Avec les augmentations des franchises, les réductions des indemnités journalières, on ose nous parler de « responsabilisation », d’un « signal prix », alors que l’on sait que ce seront ceux qui ont de faibles moyens qui renonceront à des soins. La « responsabilité » ce serait de s’en prendre aux spéculateurs, aux Big Pharma.
Après le scandale Orpéa, la réponse du gouvernement c’est de supprimer la loi Grand âge qu’il avait promise :
Le budget est consacré au remboursement de la dette de la France. Toutes les « pistes » évoquées consistent à faire payer la population, par une nouvelle assurance obligatoire ou par de nouveaux prélèvements (une 2ème CRDS – Contribution au remboursement de la dette sociale)
Les pensions de retraite devraient être en baisse par rapport au PIB pour des décennies,…
E Macron fait des coupe dans toutes les dépenses solidaires de protection sociale. Le « modèle » qu’il est en train de mettre en place c’ est celui des États Unis.
IL faut reprendre la main sur la Sécurité sociale, notre bien commun, pour lui donner les moyens de répondre aux besoins et pour s’opposer à un projet qui met en danger une partie de la population.
C’est pourquoi la Convergence nationale des collectifs de défense et développement des services publics, la Coordination nationale des collectifs de défense des hôpitaux et maternités de proximité, et la Convergence national rail sont à l’initiative d’une pétition pour que le budget 2024 et des années suivantes de la Sécurité Sociale , dans toutes ses branches, réponde au besoins.
La pétition s’adresse au Président de la République. Mais nous entendons aussi interpeller les parlementaires qui seront amené à se prononcer sur ce projet de loi.
Nous invitons les responsables associatifs ou les acteurs du monde la santé à la signer
Nous publierons prochainement les noms des premiers signataires.
Cette pétition est celle de toutes celles et tous ceux qui veulent contribuer à la mobilisation pour la sauvegarde de la Sécurité sociale.
Chaque organisation, collectif, association est iinvité à la faire signer sous toutes les formes possibles : électronique, papier, …, à la relayer dans leurs réseaux, auprès de leurs militants.
Elle peut aussi être l’occasion d’interpeller localement les parlementaires qui seront amené à se prononcer sur ce projet de loi.
Ces pétitions seront remises vers la fin octobre à l’Elysée. A cette occasion des demandes de rencontres avec les groupes et le commissions parlementaires seront sollicités.
Un premier point de la collecte de signatures sera fait fin septembre à l’occasion d’une conférence de presse.